LA FORMATION AU PLUS PRES DES ENTREPRISES
Le président de la région Aquitaine a participé à l'inauguration de l'atelier "génie des procédés" rénové à la suite d'intempéries.

Pas moins de neuf conventions de partenariat avec des entreprises du secteur industriel ont été signées en fin de semaine dernière au lycée professionnel Marcel-Dassault (1).
Trois d'entre elles concernent la formation de technicien d'usinage, les six autres se rapportant à l'industrie des procédés. Une filière qui forme des conducteurs de chaînes de fabrication dans des secteurs aussi divers que l'agroalimentaire, les cosmétiques, le médicament, la chimie au sens large (engrais, peintures, pesticides, biocarburants, etc.), le traitement des eaux et des déchets. Il n'existe que trois formations de ce genre en Aquitaine, à Mérignac, Bergerac et Mourenx.
550 000 euros de travaux
Quels sont les objectifs visés par ces conventions ? Pour l'établissement scolaire, il s'agit de tisser des liens avec le monde professionnel et de bénéficier d'un appui dans la communication sur le métier et ses valeurs.
Pour les entreprises impliquées, l'intérêt est tout aussi évident. Ce rapprochement permet d'offrir des stages aux élèves, d'établir des relations privilégiées et de promouvoir leur activité auprès des jeunes. Les axes de ce partenariat reposent sur la motivation, l'accueil en entreprise et la promotion de l'entrée dans la vie professionnelle.
En marge de ces signatures, l'atelier « génie des procédés » a été également inauguré après une rénovation engagée par la Région, suite à l'effondrement de la toiture du bâtiment en décembre 2009. Le montant global de l'opération atteint 550 000 euros.
En outre, une subvention régionale de 150 000 euros, votée en février 2012, va être allouée à la remise en état du second laboratoire et des façades. D'autres travaux sont en cours, comme la réfection des stores et du carrelage des façades de la vie scolaire.
« Le lycée Marcel-Dassault est toujours à la pointe, a commenté Bernard Le Roux, premier adjoint au maire de Mérignac. Il possède notamment une formation en horlogerie reconnue au plan national. »
De son côté, le recteur, Jean-Louis Nembrini, a souligné l'importance de conforter une filière professionnelle : « La formation des jeunes est primordiale. Quand on est dans un lycée comme celui-ci, c'est que l'on a choisi sa voie. L'opportunité de côtoyer des employeurs est une chance. »
Alain Rousset a conclu : « Nous sommes ici au départ pour un dégât des eaux qui a entraîné la réhabilitation de plusieurs pièces. Mais j'aimerais que ces conventions entre un lycée et des professionnels se généralisent. L'éducation prépare à l'emploi et nous devons tout mettre en œuvre pour réussir. Marcel-Dassault est à cet égard un bel exemple. »
(1) Les trois entreprises concernées par la formation de technicien d'usinage sont SEIV Aquitaine, A2C et AGB. Elles sont toutes implantées à Mérignac. Les six autres conventions relatives à la formation « industrie des procédés » sont Cepol (Bassens), Siap (Bassens), Orion Engineered Carbon SAS (Ambès), Yara (Ambès), Labso chimie fine (Blanquefort) et Sanofi (Carbon-Blanc).
Michèle GANET et Olivier DELHOUMEAU
Article publié sur le site du journal Sud Ouest, le 14/03/2012
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UNE FORMATION A L'HEURE HELVETE A MERIGNAC
La filière horlogerie du lycée professionnel Marcel Dassault se rapproche de la marque suisse Jaeger-LeCoultre
 
Vendredi matin, au lycée professionnel Marcel-Dassault. Deux hauts responsables de la célèbre manufacture suisse Jaeger-LeCoultre poussent la porte d'un atelier de la section horlogère. L'ambiance est studieuse. Douze d'élèves en blouse blanche examinent dans un silence de cathédrale de minuscules pièces, armés d'une loupe et d'une pince Brucelles. " Les deux outils de prédilection de l'horloger ", sourit Gérard Guerre, enseignant à Mérignac depuis onze ans.
Les visiteurs ne sont pas dépaysés. Franck Grosgojat est responsable des activités horlogères pour la marque helvète, Roland Cretin, le directeur des ressources humaines. La raison de leur présence en France ? " Nous allons signer une convention de parrainage officialisant les relations privilégiées que nous entretenons depuis des années ", explique le DRH.
Que prévoit ladite convention ? Une visite annuelle des ateliers de fabrication par les élèves, l'organisation de stages en entreprise. D'autre part, l'élève le plus méritant se verra offrir une horloge Atmos. Une petite merveille de technologie capable de fonctionner des années sans intervention humaine. " Le ressort est retendu par les variations de la température et de la pression atmosphérique ", souffle, fasciné, le proviseur Daniel Vidal.
10% des horlogers
Cette reconnaissance couronne encore la volonté d'adapter la formation aux réalités du métier. Pour les plus chanceux, ce partenariat conduira à un recrutement. Car la formation française demeure une référence sur le marché des montres mécaniques de luxe. Jaeger-LeCoultre, vieille institution de 1833, n'est pas la dernière à faire les yeux doux à la main-d'œuvre experte de demain. " Nous employons 1 300 salariés dont 800 Français. Et sur 200 horlogers, 10 % proviennent du lycée Dassault ", relève Franck Grosgojat. Preuve de la bonne réputation de l'école girondine.
Il faut dire que la denrée est rare, y compris dans l'Hexagone où il n'existe que six centres de formation. De Rennes à Marseille, le lycée professionnel de Mérignac est un des seuls à proposer un cursus en quatre ans, du CAP au brevet des métiers d'art (BMA), l'équivalent du bac pro. La formation dispensée privilégie le métier d'horloger réparateur. " À l'issue de leurs études, nos élèves sont capables d'ouvrir une montre, d'en démonter le mécanisme et de refaire le cas échéant la pièce manquante ou défectueuse. Cela exige un sens mécanique, une maîtrise du geste assez exceptionnelle ", insiste Daniel Vidal.
La vallée de Joux
La Suisse a la réputation de bien payer ses horlogers. Doit-on y voir la raison première de son attractivité? " Les conditions sociales entre les deux pays sont différentes, coupe Roland Cretin. On n'attire pas les jeunes sur ce critère. Leur motivation est ailleurs. Ils nous rejoignent pour concrétiser un apprentissage, avoir la chance de toucher des produits de luxe. " En entrée de gamme, une montre Jaeger-Lecoultre coûte aux alentours de 5 000 euros. La limite supérieure ? " Il n'y en a pas ", lâche Franck Grosgojat. Le prix est proportionnel au degré d'exigence du client. Un sertissage de pierres précieuses, une gravure laquée, le rajout de complications, et aussitôt la note s'arrondit.
Moins pudique sur l'aspect pécuniaire, Jean-Jacques Soufflet, conseiller d'enseignement technologique auprès du recteur de Bordeaux, reconnaît : " J'ai croisé des centaines de jeunes gagnant entre 2 500 et 6 000 euros par mois. L'idéal est de travailler en Suisse et de continuer à vivre en France. Souvent, les inspecteurs tiquent à l'idée de former des gens qui partent à l'étranger. On peut aussi considérer que ce sont autant de gamins que l'on sort du chômage. "
Ancien élève du lycée (promotion 1989), Thierry Morange a vécu pendant douze ans son rêve suisse dans la vallée de Joux. La région concentre tout un chapelet de manufactures réputées, dont Jaeger-LeCoultre. " J'ai commencé dans un atelier de réglage pour des montres mécaniques. J'y suis resté quatre ans, avant de travailler sur les complications (1). Par la suite, j'ai intégré le bureau des méthodes. J'ai participé à la conception de nouveaux outillages, à la mise au point de nouveaux modèles. " Au plus fort de sa carrière, Thierry Morange touchait un salaire mensuel de 4000 euros. Revenu à Bordeaux pour des raisons familiales, il enseigne à présent au lycée Dassault. Pour un traitement net de 1485 euros. " Cela s'explique. Les horlogers que nous recrutons n'ont pas le statut de titulaires. Chez nous, la dernière mise au concours d'un poste date de six ou sept ans. En France, la moitié des professeurs exerçant cette spécialité sont des contractuels. Il faut avoir la foi chevillée au corps ", ponctue le proviseur.
" Originaire de la Drôme, j'ai découvert cette formation par hasard. Tout jeune, j'adorais ce qui était mécanique et petit. En troisième, j'ai fait un stage dans une entreprise de décolletage, puis un autre chez un grossiste horloger. Là, j'ai vraiment plongé. Après le BMA, j'espère suivre une formation DMA (diplôme des métiers d'art) au lycée Edgar-Faure de Morteau et devenir horloger prototypiste. J'envisage de travailler dans les grosses boîtes suisses. Ce qui m'intéresse, c'est l'invention de mécanismes, le travail de recherche. "
" Je suis une formation de remise à niveau. Car une fois mon CAP en poche, en 1996, j'ai eu l'opportunité de partir en Australie où j'ai travaillé deux ans chez Rip Curl. Par la suite, j'ai fait 36 boulots : engagé parachutiste, chauffeur de particuliers, barman...J'ai enchaîné dans une boîte sous-traitante d'Airbus. Arrivé à la retraite, mon père m'a proposé d'ouvrir un atelier de réparation et de restauration de pendules et d'horloges. Il enseignait cette spécialité à Muret (Haute-Garonne). Je l'ai suivi. Je suis en formation deux jours et demi par semaine et le reste du temps dans le Gers. "
(1) En horlogerie, une complication est une fonction autre que l'affichage de l'heure, des minutes et des secondes. Ce sont des modules ajoutés au mouvement de la montre.
Olivier DELHOUMEAU
Article publié sur le site du journal Sud Ouest, le 02/02/2011
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LE RECTEUR EN VISITE AU LYCEE MARCEL DASSAULT
EDUCATION : Jean-Louis Nembrini a fait le tour de cet établissement d'enseignement professionnel allant de l'horlogerie à l'électrotechnique.
Jean-Louis Nembrini, recteur d'académie de Bordeaux depuis fin décembre 2009, était en visite dans des établissements scolaires mérignacais mardi après-midi. Après avoir visité l'école maternelle Peychotte, qu'il a qualifiée "de bel outil pédagogique pour les enfants", le recteur s'est rendu au lycée Marcel Dassault. C'était sa première visite en établissement d'enseignement professionnel et il a été accueilli par Daniel Vidal, le proviseur, ainsi qu'une partie de l'équipe du lycée.
Marcel Dassault propose des filières industrielles et tertiaires : horlogerie, électrotechnique, industries des procédés, technicien d'usinage… Chaque année, le lycée envoie une vingtaine d'élèves effectuer un stage professionnel à l'étranger dans le cadre du projet Léonardo, et participe au programme Coménius (échanges entre des établissements scolaires européens).
Visite des ateliers
Jean-Louis Nembrini, accompagné de Daniel Vidal, d'André Meunier, inspecteur d'académie, de Régine Marchand, conseillère régionale chargée du lycée, et de membres de l'établissement, a visité les différents ateliers. Il a découvert les nombreuses machines mises à disposition des lycéens ; du matériel de pointe (la dernière acquisition en usinage a trois mois et à coûté 110 000 euros). Le recteur a été impressionné par le travail minutieux réalisé en horlogerie et ravi d'apprendre que c'est une filière où l'on est sur d'avoir du travail à la sortie. "Ils partent tous en Suisse, précise Daniel Vidal, mais ensuite ils reviennent en France où ils sont attendus."
En industrie chimique, le professeur a mis sur pied un programme spécifique au lycée. "C'est pareil dans les autres établissements ?" demande le recteur. "Chacun a sa façon d'enseigner, mais le résultat est le même", répond le professeur.
Une tuile pour le lycée
L'un des ateliers d'industrie des procédés est inutilisable depuis les vacances de Noël, une poche d'eau s'étant formée sur le toit suite aux intempéries. Celui-ci a lâché et doit être réparé. Les élèves ont été répartis sur d'autres ateliers et le Conseil régional a lancé un appel d'offres pour cette réparation qui devrait intervenir entre les vacances de Toussaint et de Noël 2010.
Jean-Louis Nembrini a posé de nombreuses questions aux élèves afin de comprendre le fonctionnement du lycée qui "est classé parmi les plus compétitifs du département" dixit le proviseur.
Michèle GANET
Article paru dans le journal SUD-OUEST, le samedi 8 mai 2010.
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ILS ONT APPORTE LA LUMIERE
HUMANITAIRE : Quinze élèves du lycée professionnel Marcel Dassault ont réalisé un chantier d'électrification au Sénégal. Le 8 avril, ils feront une restitution de leur séjour.
On dit des voyages qu'ils forment la jeunesse. Qui plus est lorsqu'ils ont une visée humanitaire. Revenus depuis un mois de leur périple au Sénégal, Jérémy, Wendy, Vincent et douze autres jeunes ont encore l'esprit embrumé de souvenirs de mangroves et de terre (rouge) de latérite. Tous sont élèves au lycée professionnel Marcel Dassault, en terminale Eleec (électrotechnique, énergies, équipements communicants). Du 10 au 25 février, ils sont partis dans la région du Siné-Saloum afin de réaliser un chantier d'électrification à Dionewar : un chapelet d'îles au bord de l'océan, situé à 150 kilomètres de Kaolack, ville jumelée à Mérignac depuis 1982.
Accouchements à la bougie
Joël Cagnard, professeur de génie électrique et vice-président de Jumelages et partenariats internationaux de Mérignac, était du voyage : "Une longue histoire nous lie avec cette partie du Sénégal. En 2008, notre association a mandaté l'ONG Electriciens sans frontières (ESF) pour identifier des besoins électriques dans ce secteur géographique. Le programme mené en février a permis d'apporter des réponses concrètes." En l'occurrence, la mission de solidarité s'est focalisée sur un établissement de santé, un collège et un GIE (groupement d'intérêt économique), spécialisé dans les produits halieutiques. "Prenons le dispensaire, par exemple. Il était alimenté par un groupe électrogène, mais seulement de 18 heures à 23 heures. Cela posait d'énormes problèmes, notamment de conservation des vaccins, des médicaments. La nuit, des femmes accouchaient à la bougie. On a donc équipé le bâtiment de panneaux photovoltaïques. Parallèlement, l'installation électrique a été entièrement refaite." Au collège, les futurs électrotechniciens ont apporté la lumière dans trois salles de classe. Concernant le GIE, "on a tiré une ligne d'alimentation sur environ 100 mètres, avec l'aide d'ESF. Outre la réparation du réseau existant, on a alimenté un hangar, des vestiaires, des sanitaires et une salle de conférence", détaille Joël Cagnard. Sur le plan logistique, panneaux photovoltaïques et câbles ont été achetés directement sur place, à Dakar. L'appareillage technique (tableaux de répartition, prises et luminaires…) est venu par avion, dans les bagages des lycéens. "On a rempli la soute" sourit l'un d'entre eux.
Des chaleurs de 39 degrés
Localement, le comité de suivi des îles et la communauté rurale se sont occupés de l'accueil. Loin des températures négatives de l'hiver bordelais, le groupe a vécu quinze jours sous une chaleur de plomb. En short et tee-shirt pour supporter des pics à 39 degrés. "C'est une expérience unique. On ne vivait pas à l'écart dans un hôtel mais au contact de la population", commente Vincent. Malgré la barrière de la langue (le sérère est dominant dans cette région), "on a partagé des moments magiques", assure Sophie Dosdat, proviseur adjoint. Comme ce match de football, perdu 3 à 1 par les Français. Ou encore cette soirée de communion musicale, où se sont mêlés percussion africaines et chants basques. Le 8 avril, l'équipe du lycée conviera les partenaires de cette mission à une soirée intitulée : "il était une fois Dionewar". Un diaporama rendra compte de cette aventure à la fois professionnelle et humaine.
Olivier Delhoumeau Article paru dans le journal SUD-OUEST, le samedi 27 mars 2010.
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15 ELEVES PRETS A PARTIR POUR LE SENEGAL
LYCEE MARCEL DASSAULT : C'est un voyage humanitaire.
Du 10 au 25 février, 15 élèves de Bac Pro ELEEC (électrotechnique) au lycée professionnel Marcel Dassault.
Ils partiront avec trois adultes, MM Cagnard et Nembrini (professeurs) et Mme Dosdat (proviseur adjoint) à Dionewar pour un projet humanitaire. Depuis dix ans, de nombreuses actions ont été menées au Sénégal.
Le groupe va partir au village qui compte environ 4 000 habitants, afin de procéder à plusieurs électrifications : le collège, le Groupement d'intérêt économique (GIE) des femmes de l'île pour la conservation des poissons et des coquillages et le poste de santé avec la pose de photovoltaïque.
"La découverte, l'aventure et le fait de partir pour une action humanitaire, c'est ce qui nous plait le plus, précisent les jeunes. On va apporter notre aide mais aussi apprendre quelque chose, voir une autre façon de vivre. Et ce sera un plus sur notre C.V." Selon les accompagnants, ce projet permet de placer les élèves en tant qu'acteurs de leur formation. "Cette immersion dans la vie des habitants de l'île va leur permettre de mûrir, de prendre conscience que les préoccupations quotidiennes peuvent être vitales et non superflues et bien éloignées de leur mode de fonctionnement."
Michèle Ganet
Article paru dans le journal SUD-OUEST, le jeudi 14 janvier 2010.
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Club des entreprises du 7/10/2008 |
Pause café au Lycée Marcel Dassault
Les chefs d’entreprises sont, pour la plupart, des parents concernés par l’avenir de leurs enfants et par la formation tout au long de la vie. Avec souvent une méconnaissance totale du panel des formations de l’Éducation Nationale et certains a priori, ne nous étonnons pas de creuser nous-même le fossé entre l’acquisition du savoir et l’emploi. En ce mardi matin d’automne, les responsables du lycée avaient tout préparé pour nous rassurer, à savoir des interventions de qualité pour bien marquer leurs spécificités par rapport aux autres lycées professionnels. Tout d’abord un enseignement professionnel des filières industrielles et tertiaires (Commerce et Secrétariat). La visite des ateliers montre à quel point ce lycée est performant. La qualité de la formation "horlogerie" (une des six dispensées en France avec un BMA- Brevet des Métiers d’Art) est reconnue en Suisse, ce qui est gage de performance. La formation « Industries de Procédés », unique en Gironde, est également une filière forte, et beaucoup d’entreprises (Ambarès, Bassens,…) recrutent des élèves du lycée Marcel Dassault. De plus, le Lycée Marcel Dassault fait preuve d’initiative en proposant des formations personnalisées pour adultes, grâce à la structure intégrée du GRETA, formations qui permettent de bâtir un parcours spécifique : des formations clé en main en quelque sorte. Un « plus » hautement estimable avec des formations internationales dispensées en anglais et entrecoupées de stage à l’étranger. Nous pensons recommencer une communication encore plus ciblée. J'ai insisté sur l'importance de mettre en avant leurs spécialités pour informer les chefs d'entreprise mais aussi les parents que nous sommes. Au nom du Club, je remercie toute l'équipe du Lycée Marcel Dassault. Nous avons encore beaucoup d'actions à mener ensemble. Mais n’hésitez pas à les contacter, ils restent à votre disposition.
Le Club des entreprises, mardi 07 octobre 2008 |
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